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Nous allons écrire ensemble...


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Histoires à écrire à plusieurs.

Atelier, groupe d'écriture en ligne : plusieurs mains pour écrire une histoire.
Si l'une d'elles vous plaît ou vous inspire, écrivez la suite, une phrase ou deux, une page ou deux... Surtout, ne finissez pas l'histoire, d'autres prendront le relais.

bouton  Pour maintenir la cohérence et faciliter la lecture des histoires, l'orthographe sera éventuellement corrigée et la syntaxe modifiée - tout en respectant le sens donné par leur auteur.
bouton  Merci de respecter les règles de la ponctuation.
bouton  D'après une idée de Ruth Rubin


1ère histoire :

24 textes ajoutés

Il faisait beau ce jour-là et rien ne laissait prévoir ce qui allait m'arriver...
Je m'étais levée la tête claire, les idées aiguisées et j'avais envie de sortir, de marcher, de sentir le vent doux et la lumière dorée sur mon visage... C'est donc ce que je fis, sifflotant de contentement, heureuse de sentir mon corps respirer et fusionner avec la nature.
Je venais d'arriver au bout d'un petit bois lorsque...
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2ème histoire :

8 textes ajoutés

bouton   Texte proposé par adiedu59

Allongé sur la moquette, Peter contemplait la poussière qui volait sans se soucier le moins du monde de ce qui se passait autour de lui. Il finit par rouler sur le ventre pour regarder Jeanne.
- Tu cherches quelque chose ? demanda-t-il.
- Quelle perspicacité ! Je cherche un élastique...
- Un élastique ! Exactement ce qu'il nous faut pour en terminer avec ce relooking. Tu as trouvé ?
Elle s'immobilisa le temps de nouer ses cheveux puis replongea dans le tas de vêtements. Au bout d'un quart d'heure, elle se redressa, un sac dans la main.
- Tu as déjà trouvé ? dit le jeune homme ironiquement.
- Je reviens tout de suite ! Ne bouge pas Peter !
Quelques minutes plus tard, elle revint. Petites sandalettes noires, jean retroussé sur les chevilles, la taille ceinte d'une large ceinture de cuir noir nouée sur une chemise d'homme, elle avait tout l'air d'un jeune corsaire.
- Pas mal, siffla Peter... Bon maintenant, si on allait manger ? Je meurs de faim.
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3ème histoire :

3 textes ajoutés

bouton   Texte proposé par Caramelmou

Le caramel qu'il était en train de faire passer avec volupté d'un côté à l'autre de sa bouche, depuis 5 bonnes minutes, se retrouva soudain sur sa langue et commença à descendre vers sa gorge. Sigismond bondit sur ses pieds en hoquetant, les joues rouges, un jus hyper sucré, collant et marron dégoulinant de ses lèvres. Dans un sursaut désespéré et quelque peu grotesque, il réussit à expulser le reste de caramel et se laissa choir sur le canapé d'Alpaga d'un blanc immaculé de Svetana. Un sourire béat lui vint, il soupira d'aise et porta sa main à son visage, en un geste qui semblait vouloir dire : "Oh ! Ce n'est pas possible, quelle andouille je suis !..." Il se dit que prendre son mouchoir dans sa poche serait une bonne idée. Il s'affaira à essayer d'introduire sa main collante dans la poche de son pantalon. Son index sentit le tissu du mouchoir, forma un crochet et ramena son sauveur à l'air libre. Le boulon plein de cambouis qu'il avait, l'après-midi même, enfermé dans le joli mouchoir blanc emprunté à sa mère, glissa doucement sur la surface blanche du canapé et tomba dans le verre en cristal de Bavière de sa voisine. L'inévitable se produisit, déclenchant un élégant fracas, suivi du bruit sourd du boulon sur le parquet en châtaigner bleu de Hongrie. Sigismond eut une moue boudeuse, un petit sourire complice avec lui-même et rejeta d'un mouvement de tête négligeant sa mèche blonde qui était tombée sur son oeil gauche.
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4ème histoire :

25 textes ajoutés

bouton   Texte proposé par monique szczebara

C'était l'été, Il faisait nuit et j'étais seule. Bien sûr, cela m'arrivait souvent depuis qu'il était parti, mais ce soir là je ne me sentais pas tranquille. En fait je n'arrivais pas à définir pourquoi, le vent peut-être ou bien ce coup de téléphone.
J'étais assise au salon en train de regarder une série idiote à la télé quand ça a sonné. Je me suis levée pour répondre mais quand j'ai décroché, rien. J'ai pensé qu'il s'agissait d'une erreur. Comme j'étais debout, j'en ai profité pour aller me chercher un verre d'eau à la cuisine.
J'ai toujours soif quand il y a du vent.
J'étais à peine arrivée à la cuisine que ça a sonné de nouveau. J'ai répondu de la cuisine. Cette fois, une voix à peine audible a dit : "ne quittez pas on vous passe votre correspondant".
J'ai attendu mais rien. Alors j'ai raccroché et depuis je sursaute au moindre bruit...
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